Réunion du comité interpro nord-est parisien
Assemblée générale interprofessionnelle. Discutons de nos luttes, de nos conditions de vie, de travail et des moyens d’organisation.
Vendredi 1er mai à partir de 18h sous la grande halle de la Villette, métro Porte de Pantin, ligne 5.
Licenciements, suppressions de postes, baisse des salaires et des retraites, casse de la Sécu, chômage de masse, …
Public comme privé, CDI ou précaires, avec ou sans emploi, avec ou sans papiers, tous ensemble contre les capitalistes et leurs gouvernements !
Non à l’éparpillement des luttes et aux stratégies d’échecs.
Personne ne peut lutter, décider et gagner à notre place !
Unifions nos luttes en une lutte de classe.
À l’initiative de travailleurs du rail de Gare de l’Est, d’enseignants, de jeunes et retraités, de militants syndicaux, politiques ou de collectifs, révolutionnaires et internationalistes, s’est constitué un comité de travailleurs du nord-est parisien.
Notre objectif :
- aider à la coordination des luttes en une lutte de classe contre les classes dirigeantes et leur État
- organiser la défense immédiate des conditions de vie et de travail de tous les travailleurs, condition sine qua non pour préparer la future offensive contre le capitalisme
- se lier avec tout autre comité de lutte prolétarienne qui se constituera sur les mêmes bases
Face aux attaques des capitalistes, de leur gouvernement et État, organisons nos comités de grève, de lutte ! Coordonnons-nous !
Le comité appelle tous les salariés, grévistes ou non, la jeunesse ouvrière, les retraités, organisés ou non, à se réunir en AG, à former des comités de grève élus et révocables par les AG dans les entreprises, les lycées, les facs, des comités de lutte dans les quartiers, … et à se coordonner pour mener conjointement la lutte. Si l’union est une force et est plus que nécessaire, cela ne saurait suffire ! Nous devons débattre de la situation à laquelle nous sommes confrontés, des revendications à mettre en avant et des moyens de lutte pour faire reculer les capitalistes et leur gouvernement.
Cela ne peut se faire sans la plus grande démocratie, sans mener le débat le plus large et permettre l’expression de tous. Aussi, chaque travailleur, militant, organisation syndicale, politique, doit pouvoir défendre publiquement ses orientations et pouvoir les soumettre librement dans les différentes assemblées ouvrières (AG, comité de grève, comité de travailleurs, …)
Au pouvoir des capitalistes, de leurs gouvernements et État, opposons le pouvoir des travailleurs organisés en comités !