L'intervention militaire en Lybie ne peut avoir que des conséquences dramatiques pour des buts contraires à une révolution populaire. Les anarchistes, farouchement opposés à l'Etat et à la guerre, sont pourtant divisés sur la question, depuis les positions (autour de Kropotkine) pour l'engagement dans la première guerre mondiale, en passant par la guerre humanitaire en Yougoslavie.
Des collégiens et des lycéens du Lycée autogéré de Paris nous parlent d'éducation, d'autogestion et du Lap, unique en son genre, dont l'avenir est menacé.
Soutien à des Roms en difficulté après l'incendie de leur campement ou à un anarchiste russe emprisonné : qu'est-ce qui nous fait choisir les luttes dans lesquelles on s'engage ?
Comment la télévision récupère-t-elle la contestation pour la transformer en spectacle ? En quoi le formatage télévisuel crée-t-il une illusion d'objectivité ?
Lundi 24 janvier, de 11 H à 13 H, l'équipe de Lundi matin
recevra Guillaume, à Radio Libertaire, pour parler du débat organisé
le vendredi 4 février à la Bibliothèque La Rue
Le vendredi 4 février 2011, le groupe Salvador-Segui organise une discussion
publique autour du syndicalisme : face aux trahisons à répétition des
mouvements
sociaux, quelle place ont aujourd'hui les syndicats dans les luttes
sociales ?
Comment se les réapproprier ? Quelle vision avons-nous du syndicalisme et
quelle
stratégie souhaitons-nous le voir adopter ?
Ça se passera à la bibliothèque anarchiste La Rue (10, rue Robert-Planquette,
75018 Paris) à 20h00.
Le rock alternatif, punk rock, etc. sont (à notre avis) des formes artistiques qui peuvent mener plus que d'autres au militantisme, car généralement liées aux idées de gratuité, d'interactivité (par exemple les spectateurs se jettent rarement dans la foule dans les concerts de musique
de chambre), d'accès à la créativité pour tous (dans la lignée du jazz, du blues… mais avec un contenu (paroles) plus militant), de rencontres
autour des concerts.
Nous avons souvent recueilli des témoignages d'adhérents FA, CNT, etc. qui étaient venus au militantisme grâce à des tables de presse (Scalp, associations diverses), rencontres dans les squats où se donnaient les concerts, réflexion autour des paroles de chansons, etc.
De plus, ces musiques subliment colère et révolte, ce qui semble plus
approprié pour des militants révolutionnaires que les musiques apaisantes...
La santé telle qu'on la connaît aujourd'hui dans notre société et telle qu'elle fut pratiquée dans le cadre de l'expérience autogestionnaire et libertaire de l'Espagne révolutionnaire de 1936.
Si la grève est finie dans certains secteurs, les médias ont vite fait d'enterrer un mouvement qui continue toujours, avec un peu partout des gens entrés en résistance sociale par divers moyens d'action.