Cissé, Cissoko et Cissoko, du collectif des habitants expulsés du 94 rue des Sorins à Montreuil, nous expliquent la lutte qu'ils mènent pour un logement et des papiers, pour pouvoir vivre ici.
Ce 21 mai à Paris, on pouvait manifester pour l'autogestion ou avec les Tunisiens sans-papiers. S'il fallait bien faire un choix entre les deux, nous y voyons une complémentarité, illustrée par la volonté de jonction des deux manifs (empêchée par les flics).
Les pratiques autogestionnaires actuelles pourraient-elles, en s'étendant, amener à un changement radical de société ? Ou n'est-ce pas plutôt ce changement de société, par la révolution, qui permettra les pratiques libertaires telles que l'autogestion ?
Un taux record d'abstention, la droite accusée de faire le lit du FN : les élections cantonales ont été l'événement médiatique du week-end. Après le dernier échec, cuisant, du mouvement social pour la défense des retraites, l'alternance se prépare pour continuer à gérer au mieux les intérêts du capitalisme.
L'intervention militaire en Lybie ne peut avoir que des conséquences dramatiques pour des buts contraires à une révolution populaire. Les anarchistes, farouchement opposés à l'Etat et à la guerre, sont pourtant divisés sur la question, depuis les positions (autour de Kropotkine) pour l'engagement dans la première guerre mondiale, en passant par la guerre humanitaire en Yougoslavie.
Des collégiens et des lycéens du Lycée autogéré de Paris nous parlent d'éducation, d'autogestion et du Lap, unique en son genre, dont l'avenir est menacé.
Soutien à des Roms en difficulté après l'incendie de leur campement ou à un anarchiste russe emprisonné : qu'est-ce qui nous fait choisir les luttes dans lesquelles on s'engage ?