Projection de Sous le signe libertaire, documentaire sur les réalisations communistes libertaires espagnoles entre 1936 et 1937, suivie d'une discussion publique.
Jeudi 18 novembre 2010 au Forum Léo Ferré, 11 rue Barbès, métro Pierre Curie, 20 heures (ouverture des portes vers 19 heures). Entrée libre. Petite restauration possible.
Si la grève est finie dans certains secteurs, les médias ont vite fait d'enterrer un mouvement qui continue toujours, avec un peu partout des gens entrés en résistance sociale par divers moyens d'action.
Appel à manifester mardi 26 octobre à 12h devant la Salpêtrière (square
Pierre et Marie Curie, métro St Marcel) en direction de la Tiru bloquée.
Depuis mardi, des éboueurs bloquent la plus grosse usine
d'incinération de déchets de France (Tiru). Les deux énormes cheminées ont
cessé de cracher leurs fumées. Les ordures de 18 communes sont acheminées
vers les autres centres, non bloqués. L'incinération produisant du
chauffage collectif, il doit se faire avec du fuel (plus cher).
Les renforts seront particulièrement bienvenus pour rester sur le piquet
la nuit. Samedi soir, l'ambiance (et le feu de bois) compensait le froid.
Syndicat intercommunal de traitement des ordures ménagères (Syctom)
43 rue Bruneseau
RER-C Bibliothèque-F.Mitterand ou Métro Pierre-Curie
ETUDIANTS, hier nous étions dans la rue avec vous mais autant vous le dire tout de suite, la réforme 2 Paquets on s’en fout ! Pour nous la sélection a déjà joué. L’Université nous est fermée, et nos CAP, nos BEP nous mènent tout droit à l’usine après un petit tour à l’ANPE.
Pour nous la loi 2 Paquets est inutile :
Nous critiquons l’Université.
Nous critiquons les étudiants.
Nous critiquons l’école.
Nous critiquons le travail.
L’école nous donne les mauvaises places. L’Université vous donne des places médiocres. Ensemble critiquons-les ! Mais ne nous dites pas : il faudra toujours des balayeurs, des ouvriers, ou alors allez-y les gars, ces places-là on vous les abandonne de bon cœur, vous gênez-pas !
ON N’EST PAS PLUS BETES QUE VOUS, ON N’IRA PAS A L’USINE