Une émeute dégénère à Nantes
En milieu d'après-midi, ce samedi, en marge des violents heurts qui devaient se dérouler dans le centre-ville de Nantes, un certain nombre de groupuscules non-violents ont tenté de déborder l'émeute.
Manif pour la liberté de circuler et de s'installer
Le Collectif des Baras et ses soutiens appellent à une manifestation pour la liberté de circuler et de s'installer, samedi 9 novembre, départ à 14h30 devant la CGT, rue de Paris, à Montreuil (métro Porte de Montreuil).
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Manifestation contre l'expulsion d'un lycéen
Khatchik, jeune lycéen, a été expulsé vers l’Arménie samedi 12 octobre pour défaut de titre de séjour. Une première tentative d’expulsion le 10 octobre avait échoué : une trentaine d’élèves, d’enseignants, de soutiens ayant convaincu des passagers de soutenir le refus d’embarquer de Khatchik. Il est le premier lycéen parisien chassé depuis août 2006.
Depuis plusieurs semaines et l’arrestation de Khatchik, la mobilisation s’amplifiait. Informés de sa situation, les copains de classe de Khatchik ont alors fait plusieurs matinées de grève et préparaient un début de semaine de manifestations et d’actions pour obtenir sa libération.
Demain, vendredi 18 octobre, on vous demande de bloquer vos lycées pour qu'on se rejoigne à 12 heures à Bastille pour partir en manif (malgré le fait que la FIDL appelle à un rendez-vous à 13 heures, sans aucune concertation ni rien). Toutes autres informations surtout venant de syndicats ou autres sont fausses.
On appelle un maximum de personnes à venir nous rejoindre a midi qu'elles soient lycéennes ou pas.
Démantèlement annoncé du camp Truillot
Ni expulsion, ni bidonville
… ni relogement !
Samedi 8 juin 2013. La Fête de solidarité organisée dans le gymnase Joliot Curie en soutien aux Rroms d'Ivry a tout l'air d'un pot de départ. Quelques semaines avant, le maire a en effet annoncé dans un bulletin municipal sa volonté de démanteler le camp rue Truillot — camp qu'il avait lui-même aidé à installer — en demandant un diagnostic social
censé permettre aux familles d'être relogées. Ce fameux diagnostic social semble être une solution miracle pour résoudre l'équation-dilemme qui se pose à la municipalité dans l'épineuse question du devenir de ces encombrants résidents : Ni expulsion, ni bidonville !
peut-on lire un peu partout… « Ni relogement ! » pourrait-on ajouter.