C'est un fait : le spectacle du candidat de la révolution citoyenne attire plus de monde que n'importe quelle lutte concrète. Alors comment convaincre — en restant sur des bases anarchistes — d'agir au lieu d'élire, pour que, suffisamment nombreux, nos luttes aboutissent ?
Une fable politique adaptée d'un roman de George Orwell
Passionnant, beau, émouvant — autant pour les adultes que pour les enfants… —, ce dessin animé est surtout un prétexte à réflexion sur tous les abus de pouvoir.
Les animaux d’une ferme sont opprimés par un fermier brutal et stupide (métaphore pour Nicolas II). Un vieux cochon, Sage l'Ancien (Karl Marx ou Lénine), leur fait prendre conscience de leur aliénation. Ils se
rebellent, chassent le fermier et créent une société qui se voudrait égalitaire. Mais deux cochons (Trotsky et Staline) vont bientôt imposer leur loi…
Chez Orwell, les animaux assistent impuissants au festin des cochons avec leurs associés humains, alors que dans cette version, aidés par les animaux de fermes avoisinantes, ils se révoltent avec succès contre les
cochons.
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit de suffrage.
Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.