Les sans-papiers sont les plus opprimés et les plus exploités. Ce sont aussi des gens qui luttent : ils sont environ 5 000 en grève pour obtenir leur régularisation.
Qualifié de peste émotionnelle — une expression utilisée pour discréditer quelqu’un qu'on ressent comme un adversaire —, le sentiment de révolte est particulièrement présent chez les militants, qui se demandent comment le réveiller quand on est entouré d’indifférence.