- Nous ne voulons pas la guerre
- Le camp adverse est le seul responsable de la guerre
- Le chef du camp adverse a le visage du diable (ou
l'affreux de service
)
- C'est une cause noble que nous défendons et non des intérêts particuliers
- L'ennemi provoque sciemment des atrocités, et si nous commettons des bavures c'est involontairement
- L'ennemi utilise des armes non autorisées
- Nous subissons très peu de pertes, les pertes de l'ennemi sont énormes
- Les artistes et intellectuels soutiennent notre cause
- Notre cause a un caractère sacré
- Ceux (et celles) qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres
Utilisables en cas de guerre froide, chaude ou tiède…
Lundi matin, 30 juillet 2012, 1h27, 47,3 Mo
Vendredi 3 août, à partir de 19h30, Sylvie (simple lectrice
…) viendra discuter avec vous d'un bouquin qu'elle a lu et aimé :
Description des mécanismes de la propagande de guerre, unanimement utilisés, de la première guerre mondiale jusqu’aux plus récents conflits (et dans les prochains…). Ces dix principes élaborés en 1914 par Lord Ponsonby sont actualisés et développés par Anne Morelli, nombreux exemples à l'appui :
- Nous ne voulons pas la guerre
- Le camp adverse est le seul responsable de la guerre
- Le chef du camp adverse a le visage du diable (ou
l'affreux de service
)
- C'est une cause noble que nous défendons et non des intérêts particuliers
- L'ennemi provoque sciemment des atrocités, et si nous commettons des bavures c'est involontairement
- L'ennemi utilise des armes non autorisées
- Nous subissons très peu de pertes, les pertes de l'ennemi sont énormes
- Les artistes et intellectuels soutiennent notre cause
- Notre cause a un caractère sacré
- Ceux (et celles) qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres
Librairie du Monde libertaire 145 rue Amelot, 75011 Paris
ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h30 et le samedi de 10h à 19h30
Métro République, Oberkampf ou Filles du Calvaire
Entrée libre.
Antisémitisme ou l'in-humanisme : exterminer l'humain dans le juif
, texte paru dans le n° 1276, 11-17 avril 2002, du Monde libertaire.
L'article de Roger Dadoun, que j'ai lu dans un premier temps avec un vif intérêt, m'a ensuite plongée dans une profonde perplexité. Sur la critique de l'antisémitisme, rien à dire, je souscris à fond. L'Holocauste, c'est l'horreur ultime : évident, mille fois répété, mais on ne le dira jamais assez. Là où j'ai plus de mal à suivre, c'est d'abord sur ces définitions d'un racisme qui serait humain
, par opposition à un autre (l'antisémitisme) qui serait in-humain, contre-humain, anti-humain
.
Lire la suite de Réponse à Roger Dadoun
Dans une Madrid assiégée par les manifestations contre le FMI et la Banque mondiale, sept candidats se rendent à un entretien d'embauche pour un poste de cadre, dans la tour de la multinationale Dekia. Très vite, ils se rendent compte que personne ne va les recevoir et qu'ils sont à la fois objets et sujets de la sélection.
Des écrans d'ordinateurs vont les guider dans le processus d'élimination mutuelle. Peut-être l'un d'eux est-il même un psychologue infiltré, peut-être sont-ils surveillés par des caméras et des micros cachés… C'est la méthode Grönholm.
Lundi matin, 23 juillet 2012, 1h30, 47,5 Mo